Les billets de cette seminaie ont évoqué différentes formes de régulation humaine.
Ce qui caractérise ces formes de conduite de l’action, c’est l’accent porté sur les variables et les contextes. Le dosage d’intérêt porté à la performance, l’ouverture à soi, aux autres au monde, la maitrise des situations leur reproductibilité leur maitrise, les émotions incorporées, rejetées, suspectes, l’inclusion des acteurs, la gestion du pouvoir et des décisions à prendre, la liberté d’initiative ou encore l’ouverture vers l’extérieur connotent le type de régulation qui opère, les qualités et savoir-faire des acteurs. Il existe une immense diversité de variables qui induit le type de régulation qui s’installe. Ce nombre de variables est tel qu’il ne saurait être réduit par un bon agencement organisationnel, à l’expression des formes de pouvoir ou la volonté d’un seul acteur. Selon le sens auquel chacun se réfère au travail, le type de régulation attendu est différent.
Et si ces formes étaient entièrement remise en question par le pouvoir du numérique de créer des nouvelles manières de communiquer et d'échanger qui transforme la fonction d'intermédiaire?