Mettre du corps dans sa facilitation, c'est reconnaître que l’intelligence est aussi corporelle. Le facilitateur ne se limite pas à orchestrer des échanges verbaux ou cognitifs : il devient lui-même un instrument relationnel. L'ancrage corporel, la respiration consciente et les mouvements intentionnels sont autant de leviers pour instaurer une dynamique collective fluide et connectée. Chaque geste, posture ou rythme respiratoire peut influencer l’énergie du groupe, recentrer l'attention ou ouvrir un espace d'exploration.
Les pratiques corporelles enrichissent cette approche. Le qi gong, par exemple, permet au facilitateur de cultiver l'énergie interne et de maintenir une présence alignée. Le yoga, en favorisant souplesse et ancrage, aide à incarner une stabilité propice à la confiance. Le leadership embodiment développe la capacité à répondre aux tensions avec ouverture et calme, en intégrant corps, émotions et esprit. Quant au process work, il invite à explorer les signaux somatiques et les dynamiques invisibles, souvent à l’origine des blocages ou des élans du groupe.
Mettre du corps dans sa facilitation, c'est aussi travailler avec le rythme : le souffle pour ralentir, les mouvements pour synchroniser, ou encore des marches conscientes pour reconnecter les participants à eux-mêmes et à leur environnement. Ces pratiques ne se limitent pas à la posture du facilitateur ; elles inspirent le groupe à se reconnecter à ses propres ressentis corporels, ouvrant ainsi des chemins inédits vers l’écoute, la collaboration et la transformation collective.
Les pratiques corporelles enrichissent cette approche. Le qi gong, par exemple, permet au facilitateur de cultiver l'énergie interne et de maintenir une présence alignée. Le yoga, en favorisant souplesse et ancrage, aide à incarner une stabilité propice à la confiance. Le leadership embodiment développe la capacité à répondre aux tensions avec ouverture et calme, en intégrant corps, émotions et esprit. Quant au process work, il invite à explorer les signaux somatiques et les dynamiques invisibles, souvent à l’origine des blocages ou des élans du groupe.
Mettre du corps dans sa facilitation, c'est aussi travailler avec le rythme : le souffle pour ralentir, les mouvements pour synchroniser, ou encore des marches conscientes pour reconnecter les participants à eux-mêmes et à leur environnement. Ces pratiques ne se limitent pas à la posture du facilitateur ; elles inspirent le groupe à se reconnecter à ses propres ressentis corporels, ouvrant ainsi des chemins inédits vers l’écoute, la collaboration et la transformation collective.
se professionnaliser en facilitation https://lnkd.in/dKFRhJh8
webinaire de présentation du parcours les essentiels de la facilitation le 25 novembre à 17h et le 15 décembre à 13h
https://lnkd.in/dDmtaH4v