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- Les pass-word et login rebutent les utilisateurs
- Les ressources proposées sont de qualités inégales
- Les produits sur étagère n’apportent pas toujours de plus-value significative
- Les produits e-learning se périment vite
- Les réseaux et terminaux ne sont pas au niveau des solutions proposées
- Les ressources proposées sont fermées et peu accessibles
- Les dispositifs proposés sont trop complexes à maîtriser pour une variété d’acteurs
- Les apprenants ne persistent pas dans l’apprentissage, il ne sont pas automones
- Les formateurs, ingénieurs ou conseillers formation ne proposent pas l’offre. Ils choisissent de promouvoir des solutions qu’ils maitrisent
- Les innovateurs isolés s’épuisent dans des environnements peu porteurs
- Le niveau de compétence pédagogique demandé aux organisateurs de formations est plus élevé que leurs compétences actuelles
- Les premiers à s’intéresser aux projets sont les informaticiens plus que les pédagogues, la pédagogie se trouve moins pris en compte
- Il existe des craintes tant du côté des apprenants que de celui des personnes mettant en œuvre la formation
- La communication sur les propositions pédagogiques est peu claire
- Il n’existe pas de gouvernance spécifique pour un déploiement
- Les formats pédagogiques proposés souffrent du « syndrome diligence » (C’est le cas du cours magistral que l’on se contente de filmer et de mettre en ligne sans adaptation)
- Les dirigeants s’embarrassent peu d’innovation, ils vont à l’essentiel et aux solutions qu’ils connaissent
- Le tutorat en ligne laisse l'apprenant isolé
- Les apprenants ont besoin d'une émotion absente en ligne
- Les produits e-learning sont longs et couteux à développer