L'apprentissage informel permet l'acquisition de 70% de nos connaissances. C'est un apprentissage incident ça coule en douceur sans intention d'apprendre. On apprend par immersion des langues étrangères par friction par contact parfois en faisant des efforts parfois moins car la distance avec l'univers sémantique et grammatical est plus faible. Il n'existe donc pas un principe général qui veuille que tout apprentissage informel se déroule sans effort. Quand à l'autonomisation, je la classe dans la catégorie des savoirs devenir. Cela exige parfois de faire le récit de sois (soi au pluriel) possible, d'enclencher des boucles de réflexivité, d'avoir des prises de conscience. La recherche de la fluence s'observe en facilitation il y a même un groupe de recherche sur le sujet https://flow.univ-lille.fr/fr/efrn Pour moi c'est une question de circulation d'énergie